24 février 2018 – U19 supérieurs

Aubel – Seraing Ath. : 1-1

 

Le match commence en mode mineur et le jeu se concentre essentiellement dans l’entrejeu. L’équipe d’Aubel fait magnifiquement tourner le ballon et se montre de plus en plus entreprenante,  Sacha a dû sortir le grand jeu pour sortir un ballon de but.

Malheureusement, ce ne fut que partie remise car, après 20 minutes,  une erreur défensive permit à nos adversaires d’ouvrir la marque. Cela eut le mérite de réveiller nos  joueurs qui se montrèrent de plus en plus  dangereux. L’arbitre annula même un goal sur un hors-jeu imaginaire de Quentin.

La délivrance vint des pieds de Fabio qui provoqua un pénalty suite à un solo dans la défense adverse et  se fit justice lui-même d’un « obus » dans le plafond du but. La mi-temps fut sifflée sur ce score de 1-1, somme toute logique après une première période fort tactique.

Benoit apporta quelques changements à la pause et  notre nouvelle disposition eut comme effet de  déstabiliser nos adversaires. Le début de cette 2ème mi-temps est largement en notre faveur. Le pressing  incessant sur le porteur du ballon adverse eut comme conséquence qu’on se procura 4 actions franches de but :

-un shoot trop faible de notre centre-avant suite à une mauvaise relance du portier d’Aubel, un ballon dévié sur le poteau suite à une belle action venue de la gauche .

-un réflexe du keeper sur un coup-franc dévié de Amin et un autre coup-franc magistralement shooté par Ottavio qui alla se fracasser sur la latte alors que le gardien était battu.

La chance allait-elle tourner ? En tout cas, l’équipe dut rester vigilante jusqu’au bout. Le score ne bougea plus malgré quelques incursions dans notre défense et grâce à la vigilance de Sacha auteur d’un excellent match.

Score final 1-1 . Match loin d’être nul et le mot de la fin revient à l’arbitre du match qui me confia :

«j’étais parfois un peu dépassé car cela jouait très vite et les 2 équipes ont produit un plus beau football que beaucoup d’équipes de P3, je me suis bien amusé malgré le froid ».

Éric MARÉCHAL